HOMMAGE A NOTRE AMI LUCIEN

Il intégra très jeunes (vers 10 ou 12 ans) les équipes de l'USBM (fin des années 50) qui disputait ses matches au stade de la Verrerie à Blanzy, avant de jouer en équipe 1ère au milieu des années 60 et ce jusqu'en 70-72. Il passa ses diplômes d'éducateur et pris en charge les juniors de l'Entente fin 70, puis les minimes pendant de nombreuses saisons 82 à 87 ou 88.
Certains de ses poulains sont devenus joueurs professionnels comme Christophe Forest (Dijon, Brest) et Laurent Debrosse (Lyon, Grenoble, Chateauroux). Il fût un des premiers entraineurs de notre coach d’aujourd’hui Lionel Large.

Sa carrière à l’UPCV :

Un jour,attiré par le ping,il fut d'abord joueur au club, il se tourna ensuite très vite vers l'arbitrage et le juge arbitrage suite à des problèmes physiques l'empêchant de continuer la pratique du tennis de table. Il a ainsi passé tous ses diplômes de juge arbitrage (JA1 pour le championnat par équipes, JA2 pour le critérium fédéral, JA3 pour les tournois + le grade également d'Arbitre Régional). Il juge-arbitrait toutes les rencontres départementales et régionales du club depuis des années. C'était son grand plaisir et sa passion. Il avait ainsi été le premier à créer une feuille de rencontre informatisée, qui a permis de simplifier cette tâche.  

Toujours disponible pour "son" club, il était également de toutes les organisations : - l'encadrement des stages de Creusot Vacances Jeunes tous les étés. - l'encadrement avec les entraîneurs du club dans les écoles du Creusot. - l'aide sur les séances au club, notamment le baby ping. -sa participation aux différentes actions de promotion de l'UPCV et du tennis de table en général (forum des associations, journées portes ouvertes telles que "A chacun son ping" .....).  
Aussi bien au foot qu’au ping sa passion pour la formation des jeunes il la vivait avec beaucoup d’enthousiasme et il y mettait tellement de cœur. Lucien pour tout ce que tu as pu leur donner,les’’ footeux montcelliens ‘’et les pongistes creusotins ne te remercieront jamais assez

Adieu ami Lucien